Titre : |
Millefeuille |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Leslie Kaplan, Auteur |
Editeur : |
POL, 2012 |
Description : |
256 p |
ISBN/ISSN : |
978-2-8180-1658-9 |
Note générale : |
Prix Wepler 2012. |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
840 Littérature française et francophone |
Note de contenu : |
C'est qu'il se détache, «Millefeuille», des êtres et des choses, et bientôt va mourir. Il le sent et le craint, ne le refuse, ni ne l'accepte. Quelques malaises, autant d'oublis, des peurs infondées, comme elles le sont souvent, lui rappellent, s'il le fallait, qu'il n'est plus dans la force de l'âge. Le long de rues qu'elle connaît comme sa poche pour y avoir passé son enfance, Leslie Kaplan brosse, dans le 17e livre qu'elle publie chez P.O.L., le portrait sensible et délicat de cet homme tourmenté par son déclin prochain...
De cette tragédie ordinaire, Leslie Kaplan fait émerger une délicieuse figure romanesque, tantôt balzacienne, «portant beau (...), souvent là en train de lire son journal», tantôt flaubertienne - «Félicité c'est moi», ironise-t-il sur la mort solitaire de la vieille servante d'Un coeur simple. |
Nature du document : |
fiction |
Genre : |
roman |
Niveau : |
LYC |
Discipline : |
Littérature |
Millefeuille [texte imprimé] / Leslie Kaplan, Auteur . - POL, 2012 . - 256 p. ISBN : 978-2-8180-1658-9 Prix Wepler 2012. Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
840 Littérature française et francophone |
Note de contenu : |
C'est qu'il se détache, «Millefeuille», des êtres et des choses, et bientôt va mourir. Il le sent et le craint, ne le refuse, ni ne l'accepte. Quelques malaises, autant d'oublis, des peurs infondées, comme elles le sont souvent, lui rappellent, s'il le fallait, qu'il n'est plus dans la force de l'âge. Le long de rues qu'elle connaît comme sa poche pour y avoir passé son enfance, Leslie Kaplan brosse, dans le 17e livre qu'elle publie chez P.O.L., le portrait sensible et délicat de cet homme tourmenté par son déclin prochain...
De cette tragédie ordinaire, Leslie Kaplan fait émerger une délicieuse figure romanesque, tantôt balzacienne, «portant beau (...), souvent là en train de lire son journal», tantôt flaubertienne - «Félicité c'est moi», ironise-t-il sur la mort solitaire de la vieille servante d'Un coeur simple. |
Nature du document : |
fiction |
Genre : |
roman |
Niveau : |
LYC |
Discipline : |
Littérature |
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