Titre : |
Les Fables |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Phèdre (v. 15- v. 50 ap.JC), Auteur ; Jean-Louis Vallin, Traducteur |
Editeur : |
Editions de La Différence, 2005 |
Autre Editeur : |
Minos |
Description : |
381 p. |
ISBN/ISSN : |
2-7291-1551-X |
Note générale : |
Né en Thrace peu avant l'ère chrétienne, Phèdre était grec et esclave comme Esope. Amené à Rome dans sa jeunesse, affranchi d'Auguste, il entreprend une satire des murs de la cour impériale et de ses contemporains. Ses fables sont rédigées en sénaires iambiques, un mètre simple qui s'inscrit dans la tradition populaire.
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Langues : |
Français (fre) Langues originales : Latin (lat) |
Descripteurs : |
fable littérature littérature d'idées
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Mots-clés : |
870 PHE |
Index. décimale : |
870 Littérature latine |
Résumé : |
Phèdre ? - Phèdre, dites-vous ? La fille de Minos et de Pasiphaé... ? - Non ! Phèdre, le premier fabuliste latin. Vous connaissez : Le loup et l'agneau, Le renard et la cigogne, Le loup et le chien, Simonide sauvé par les dieux... Ce sont des fables de La Fontaine, direz-vous. Oui, mais reprises à Phèdre, son modèle. Vous allez m'objecter que le père de la fable est Esope, qu'on parle de fables ésopiques. Il est vrai qu'Esope passe pour l'ancêtre - plus ou moins mythique - de l'apologue. Mais c'est bien Phèdre qui créa le genre de la fable, qui sut lui donner une forme poétique, inventer, animer le récit, varier les tons, prendre un tour plus personnel. Il est méconnu, il le fut dès le début. Les Romains du Ier siècle, ses contemporains, ont ignoré jusqu'à son nom. Le Moyen-Age n'a connu de lui que des paraphrases anonymes ; ce n'est qu'en 1596 que l'édition d'un manuscrit a permis de rétablir le texte original de ses fables et le nom de Phèdre.
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Nature du document : |
fiction |
Genre : |
satire |
Niveau : |
lycée |
Discipline : |
Littérature |
Les Fables [texte imprimé] / Phèdre (v. 15- v. 50 ap.JC), Auteur ; Jean-Louis Vallin, Traducteur . - Editions de La Différence : Minos, 2005 . - 381 p. ISBN : 2-7291-1551-X Né en Thrace peu avant l'ère chrétienne, Phèdre était grec et esclave comme Esope. Amené à Rome dans sa jeunesse, affranchi d'Auguste, il entreprend une satire des murs de la cour impériale et de ses contemporains. Ses fables sont rédigées en sénaires iambiques, un mètre simple qui s'inscrit dans la tradition populaire.
Langues : Français ( fre) Langues originales : Latin ( lat)
Descripteurs : |
fable littérature littérature d'idées
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Mots-clés : |
870 PHE |
Index. décimale : |
870 Littérature latine |
Résumé : |
Phèdre ? - Phèdre, dites-vous ? La fille de Minos et de Pasiphaé... ? - Non ! Phèdre, le premier fabuliste latin. Vous connaissez : Le loup et l'agneau, Le renard et la cigogne, Le loup et le chien, Simonide sauvé par les dieux... Ce sont des fables de La Fontaine, direz-vous. Oui, mais reprises à Phèdre, son modèle. Vous allez m'objecter que le père de la fable est Esope, qu'on parle de fables ésopiques. Il est vrai qu'Esope passe pour l'ancêtre - plus ou moins mythique - de l'apologue. Mais c'est bien Phèdre qui créa le genre de la fable, qui sut lui donner une forme poétique, inventer, animer le récit, varier les tons, prendre un tour plus personnel. Il est méconnu, il le fut dès le début. Les Romains du Ier siècle, ses contemporains, ont ignoré jusqu'à son nom. Le Moyen-Age n'a connu de lui que des paraphrases anonymes ; ce n'est qu'en 1596 que l'édition d'un manuscrit a permis de rétablir le texte original de ses fables et le nom de Phèdre.
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Nature du document : |
fiction |
Genre : |
satire |
Niveau : |
lycée |
Discipline : |
Littérature |
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